Un peu de Japon en Bretagne et en Cornouaille à travers Les Echos
Publié le 23 décembre 2021
Le récent article Bretagne et Japon, les alliés de la gastronomie, paru dans Les Echos (17/12/2021), nous donne l’occasion de replonger dans notre dossier spécial VIVRE EN CORNOUAILLE. ET SI C’ÉTAIT ÇA LE BONHEUR ?” en partenariat avec le magazine Bretons. Il est question de présenter des portraits de Cornouaillais·es depuis toujours ou qui ont tout quitté pour venir s’installer en Bretagne et y ont trouvé un cadre de vie exceptionnel, une créativité bouillonnante, des entreprises innovantes pour concilier leur ambition professionnelle et une vie personnelle épanouie.
Et c’est le Japon qui ouvre notre dossier avec Gwenaël Perhirin, Directeur de Makurazaki Katsuobushi France, société japonaise basée à Concarneau, et un encart “La Bretagne séduit les japonais” où nous parlions du Breizh Café de Bernard Larcher, de la mode, de la peinture (Pont-Aven) … Souvenirs souvenirs !
Dans Les Echos, plein phare sur d’étonnantes adresses japonaise en Bretagne : le Breizh Café (Cancale, Saint-Malo, Paris, Japon), Makurazaki (Concarneau), Hinoki (Brest), IMA (Rennes), La Tête en l’air (Vannes), Ryoko (Vannes), Le Petit hôtel du Grand Large (Quiberon), Villa Kerasy (Vannes).
Un petit goût de Japon à concarneau
Découvrez le portrait consacré à Gwenaël Perhirin.
Quand j’étais à Londres ou à Tokyo, il ne se passait pas un jour sans que je ne pense à ici. J’ai toujours eu envie de rentrer en Bretagne. Parce que plus on voyage, plus on réalise que la Bretagne est belle et qu’on a une chance inouïe d’y vivre ! L’équilibre de vie qu’on peut se créer en vivant en Bretagne et en Cornouaille est vraiment exemplaire. C’est incroyable !
Gwenaël Perhirin – Bretons pour Quimper Cornouaille nourrit votre inspiration
En savoir plus
Le katsuobushi, des flocons de bonite séchés, est produit à Concarneau. Le chashu, ce cochon roulé et coupé en tranche, a été élevé au lin pas très loin. Et, même si la déco et les bols remplis de saveurs exotiques vous propulsent au coeur des quartiers tokyoïtes de Shibuya ou Harajuku, Clément Raby avoue sans peine n’avoir jamais mis les pieds au Japon !
Les Echos